Lisabuzz.com parle de Ckkv lecture : Honnêtement, je visite des blogs chaque jours de l année, par dizaine, mais là... C est que du bonheur... Ckkv lecture, c est de le balle, comme dirait mon pote Yoyo88. CKAN est et demeurera mon chouchou de la blogosphère, car Ckkv lecture, sans se la raconter, impressionne et innove à chaque post. Ckkv lecture est la Ferrari du Web.


Je trouve que c'est bien difficile de vous faire un résumé des lectures tellement il vaut mieux lire le livre, tellement l'auteur écrit mieux que moi... Donc parfois, juste un petit truc et un renvoi au résumé ou à des critiques mieux faites et avec lesquelles je suis d'accord bien entendu.

vendredi 12 juin 2009

2 Birmane par Christophe Ono-dit-Biot

Mon avis à moi :
Et bien je ne terminerais pas ce livre, j'ai lu la première partie et ça m'a suffit.
Un correcteur-barroudeur-journaliste en pleine relation identificatoire avec son collègue encore plus baroudeur que lui.... se retrouve en Birmanie après une rupture avec une dame qui ne supporte pas les fourmis de Thaïlande... le pire, c'est qu'en rompant, elle lui dit :
"Tu n'arriveras jamais à la cheville de Blanchart"....
Alors là.... il ne pouvait rien entendre de pire.... en plus avec un prénom comme le sien, il ne va pas se la faire conter .... il s'appelle César, le gaté....son orgueil de mâle blessé lui interdit de ne pas rétorquer.... il se donne une mission... faire mieux que Blanchart ?
Le voilà partie en Birmanie.... pas la touristique attention.... monsieur est un reporter et son but est de pouvoir rencontrer celui qui sème la terreur.... celui que tout le monde craint et vénère....
le narco-traficant. prince de la prospérité, le dénommé, et il y arrive..... oh la la, qu'est-ce qu'il a eu peur !
Mais c'est sans compter sur la réclusion d'Aung San Suu Kyi qui réduite au silence serait relayée par une certaine Wei Wei....
Comme cette première partie semble mêler roman et réalité....je me suis dis super j'apprend plein de trucs sur la Birmanie, c'est vrai on apprend des trucs..... mais finalement je me dis, cette Wei Wei.... existe-t-elle vraiment....
et c'est là que j'ai tapé sur gogolle : Wei Wei, et je suis tombée sur cet critique que je te recommande de lire si tu en as envie......

Alors, pour tout te dire :

  • Au début je n'accroche pas, mais tenace je continue
  • Puis je me laisse prendre au jeu entre la rencontre avec Julie/Wei Wei, si je comprend bien... la blonde.....
  • Et l'interview de Khun Sa le narco-traficant..... qui semble déclencher une série de catastrophes... meurtre etc....
  • La jolie Julie l'emmène dans un endroit superbe, sur un lac, il a même droit à des spectacles magnifiques.... mais elle est mystérieurse cette belle.... elle lui cache quelque chose, ses larmes, ses escapades.... qu'est-ce que ça peut bien vouloir dire ?
  • Et puis voilà, pour moi ça vire en queue de nouille comme dit l'autre....
alors je ne me force pas....mais toi, tu peux !!!!!
Voilà d'autres critiques :
Résumé du livre - éditeurExotique : 1 -Caractère de ce qui n'est pas naturel, qui n'appartient pas aux civilisations de l'Occident ou qui provient de pays lointains et souvent chauds. 2 - Goût, attrait, représentation d'êtres ou de phénomènes originaires de pays lointains, inconnus, mystérieux. 3 - Impression étrangère produite par une personne, un objet, un événement. A la suite d'une dispute, un jeune homme s'envole pour le pays qui nourrit tous ses fantasmes. Son but : décrocher l'interview du plus grand trafiquant d'opium de tous les temps, et changer le cours de sa vie en rapportant ce scoop. Double problème : César est un amateur. Et la Birmanie une dictature. A Rangoon, frappé par des attentats, et où la paranoïa le dispute à la moiteur tropicale, il rencontre deux expatriés au charme trouble : une jeune médecin humanitaire et un antiquaire marié à une Birmane. Deux personnages dont il ne sait rien ; en lui venant en aide, ils vont le faire plonger en plein coeur de ce pays de tous les dangers. Et le mettre sur le chemin d'une figure de la rébellion politique, réfugiée dans la jungle avec son peuple. Trop beau pour être vrai ? Des faubourgs de Rangoon aux ethnies du Triangle d'Or, des villages lacustres du lac Inle à la Vallée des Rubis, voici l'itinéraire aventureux d'un héros de notre temps.

Avis de cuné
Il s’appelle César. Présomptueux prénom, qui ne s’accorde pas vraiment avec sa personnalité, assez naïve et conciliante, à vrai dire. Il est en vacances avec celle qui partage sa vie depuis quelques années, et tout se passe mal. Plaqué, il décide d’aller chercher LE reportage, qui, croit-il, va lui offrir ce lustre qui lui manque. Lui, le rewriter, correcteur dans un magazine moyen de gamme, sa petite vie moyenne, son image de lui en train de prendre sacrément l’eau. Donc, direction la Birmanie. Le but premier, c’est de décrocher l’interview du grand trafiquant de drogue. Aucune connexion, aucune piste, un visa de touriste et pas l’ombre d’une idée, mais hardi petit, il y va tout droit. Et tombe sur Julie, une expat blonde et décidée, jolie et médecin. Et là commence une visite de la Birmanie qui oscille entre émerveillement et terreur… Je n’avais jamais lu Christophe Ono-Dit-Biot, mais nourrissait de stupides à-priori à son endroit, l’univers asiatique ne m’attire pas un instant, c’est prête à refermer le roman aussitôt ouvert que j’y ai jeté un oeil : piégée ! Je n’ai pas sauté un seul mot jusqu’au dénouement, qui ne m’a pas plu par ailleurs, mais c’est un détail ; on y croit, on y est, on se prend pour des aventuriers et on ressent vraiment quelque chose pour ce pays qui semble encore plus mystérieux et opaque après cette lecture. Un vrai chouette bon roman d’aventure.

Tu te fais ton idée et du me dis ? Merci

2 commentaires:

Guillaume a dit…

En tant que "cet critique" que tu recommandes de lire, je confirme que c'est là un roman qu'il n'est pas nécessaire de lire.
Plus généralement, il appartient à un retour de la littérature d'aventure dirigé par des gens comme Michel Le Bris qui posent de vrais problèmes :
Ces gens-là veulent nous faire croire qu'on peut faire la même littérature, avec la même idéologie et les mêmes goûts, qu'au 19e siècle. C'est d'autant plus stupide qu'il existe en parallèle une littérature des voyages très vivante, aujourd'hui, et très contemporaine.

Aaliz a dit…

Eh bien ça me rassure, je ne suis pas la seule à ne pas avoir été "transportée" par cette lecture. Je n'ai pas du tout réussi à entrer dedans tellement l'intrigue est invraisemblable.
Tu n'as rien perdu à ne pas l'avoir terminé, la fin est aussi bancale et décevante que le reste.
Ce roman m'a juste permis de découvrir la Birmanie, c'est tout ce que j'en retiendrai.

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