Sinon, j'ai continué "La Chartreuse de Parme". Tout ça pour retrouver sans vrai succès la réplique qui m'avait tant plus dans le film, avec Maria Casarès qui interprète "La Sansévérina", tante de Fabrice car elle est la soeur de son père, héhé... faut suivre. J'avais adoré la façon dont la Casarès disait deFabrice Del Dongo (Gérard Philippe, acteur dans le film), j'avais adoré, quand ils étaient dans la diligence et qu'elle disait car la belle était folle amoureuse de son neveu, bien qu'elle fut mariée une première fois avec un vaillant mort lors d'une guerre napoléonnienne, puis une deuxième fois où marié à un vieux duc qui mourut tôt, elle devint duchesse pour sauver l'honneur de sa liaison avec le comte Mosca premier ministre qu'elle pouvait cotoyer en toute impunité apparente la coquine. Donc je vous ai fait languir, je suis comme Stendhal, elle disait donc :
"Il est beau Mon Fabrice"
C'est pas le tout, je n'ai pas terminé. Car Fabrice et Clélia meurent tous les deux, et la Sansévérina épouse Mosca donc il me reste quelques pages à avaler avant d'entamer un Jonathan Coe. A noter que c'est la première partie du roman, non traitée au cinéma qui m'a le plus intéressée. Fabrice va rejoindre Napoléon à Waterloo et c'est la bagarre, j'ai bien aimé cette première partie.
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