Lisabuzz.com parle de Ckkv lecture : Honnêtement, je visite des blogs chaque jours de l année, par dizaine, mais là... C est que du bonheur... Ckkv lecture, c est de le balle, comme dirait mon pote Yoyo88. CKAN est et demeurera mon chouchou de la blogosphère, car Ckkv lecture, sans se la raconter, impressionne et innove à chaque post. Ckkv lecture est la Ferrari du Web.
Je trouve que c'est bien difficile de vous faire un résumé des lectures tellement il vaut mieux lire le livre, tellement l'auteur écrit mieux que moi... Donc parfois, juste un petit truc et un renvoi au résumé ou à des critiques mieux faites et avec lesquelles je suis d'accord bien entendu.
dimanche 22 novembre 2015
samedi 5 septembre 2015
0 Le crime du comte Neville - Amélie Nothomb
Si vous avez une heure devant-vous, lisez ce petit Nothomb qui se lit comme on raconte une histoire à son petit enfant. Une histoire qui fait un peu peur et se termine .... Lisez, vous saurez.....
0 Profession du pére - Sorj Chalandon
Attention : histoire vraie, peut être romancée mais vraie.
J'ai lu et n'en reviens pas ! Incroyable ! Atroce ! Insoutenable.
La vie en vase clos avec un fou qui raconte n'importe quoi, fait faire des conneries à son fils qui prend tout pour vrai, et une femme de l'un mére de l'autre aveuglée par cet homme "Tu sais comment est ton pére" c'est tout ce qu'elle saura dire jusqu'à la mort de celui-ci à 90 balais !
Attention : histoire vraie, peut être romancée mais vraie.
Lu sur site de France info
"Profession du père", le roman bouleversant d'une folie familiale par Sorj Chalandon
Sorj Chalandon, journaliste et écrivain, publie "Profession du père" (Grasset), un roman très personnel qui met en scène un triangle familial enfermé dans la folie du père. Bouleversant.
L'histoire : elle se déroule dans les années 60, et jusqu'à aujourd'hui et commence quand Émile a 12 ans. Le garçon vit avec son père et sa mère dans une ville de province (qui n'est pas nommée). Le père est un héros. Il a été champion de judo, parachutiste, footballeur, espion, et même conseillé particulier du général de Gaulle. Émile a aussi un parrain. Un espion américain, héros de la seconde guerre mondiale, l'ami de son père, qui doit venir en France pour rejoindre l'OAS et rendre l'Algérie à la France…
Émile est à la fois fasciné et fier. Son père lui confie des missions dangereuses (il faut sauver l'Algérie, et pour ça le père a un plan, tuer le général de Gaulle). Emile s'en acquitte avec le plus grand sérieux, et réussit même à enrôler dans ce combat secret "le nouveau" de sa classe, un dur rentré d'Algérie avec sa famille, qui terrorise toute l'école…
Un père héroïque, donc. Un père romanesque qui fait vivre à son fils la grande aventure (séances de talkie-walkie dans la rue, manipulation d'un vrai pistolet, livraison de courriers ultra-secrets de la plus haute importance). Jusqu'ici tout va bien, et l'histoire pourrait n'être que tendre et drôle. Mais il n'y a pas que ça. Il y aussi la violence et les coups, et les opérations punitives qui finissent dans la "maison de correction" (une armoire où l'enfant est enfermé pendant des heures sans dormir et sans manger). Et la mère, soumise et craintive, qui ne dit rien, sauf cette phrase inlassablement répétée, "Tu connais ton père"…
Émile encaisse les coups. Il ne doute pas, ne se plaint pas, ne juge pas. Il essaie juste d'être le garçon que son père attend qu'il soit. Et de survivre. A la folie du père. A la violence du père. Ce père, qui invente tous les jours sa vie à partir du réel. Cette appropriation du réel fait d'ailleurs aussi de ce roman une histoire de la deuxième partie du XXe siècle, revue et corrigée par un dément. Le père d'Émile est partout, joue un rôle dans tous les grands événements, de la Seconde Guerre Mondiale à l'Euro, en passant par la décolonisation et la guerre d'Algérie, l'assassinat de Kennedy, l'attentat du Petit Clamart, la Guerre Froide, le nouveau franc…
Pour écrire cette histoire, très personnelle, le romancier (et grand reporter), a choisi la fiction, pendant que d'autres, comme Christine Angot, qui publie en cette rentrée "Un amour impossible" (Flammarion), raconte son enfance et l'histoire de ses parents, à la première personne et avec leurs vrais noms.
Chez Chalandon le récit est aussi écrit à la première personne, mais par la voix d'un personnage : Emile, 12 ans. Le romancier raconte l'histoire depuis l'intérieur de la cellule familiale, rendant compte par là de la complexité des sentiments d'Emile pour son père, partagés entre l'amour, la peur, la fascination. Un point de vue qui décrit implacablement un système fou, mis en place par le père, et accepté par tout le monde.
Tout l'art de Chalandon réside dans sa manière de dérouler les faits sans pathos, d'une écriture concrète et poétique, où l'émotion surgit dans le frottement des mots. Cette phrase, par exemple, pour dire l'exaltation décalée du père : "Il annonçait la guerre et nous n'avions qu'une pauvre soupe à dire". Ou bien cette autre, pour dire l'enfermement : "Le printemps n'entrait pas ici. La lumière restait à la porte, épuisée par les volets clos".
Émile est à la fois fasciné et fier. Son père lui confie des missions dangereuses (il faut sauver l'Algérie, et pour ça le père a un plan, tuer le général de Gaulle). Emile s'en acquitte avec le plus grand sérieux, et réussit même à enrôler dans ce combat secret "le nouveau" de sa classe, un dur rentré d'Algérie avec sa famille, qui terrorise toute l'école…
Un père héroïque, donc. Un père romanesque qui fait vivre à son fils la grande aventure (séances de talkie-walkie dans la rue, manipulation d'un vrai pistolet, livraison de courriers ultra-secrets de la plus haute importance). Jusqu'ici tout va bien, et l'histoire pourrait n'être que tendre et drôle. Mais il n'y a pas que ça. Il y aussi la violence et les coups, et les opérations punitives qui finissent dans la "maison de correction" (une armoire où l'enfant est enfermé pendant des heures sans dormir et sans manger). Et la mère, soumise et craintive, qui ne dit rien, sauf cette phrase inlassablement répétée, "Tu connais ton père"…
Émile encaisse les coups. Il ne doute pas, ne se plaint pas, ne juge pas. Il essaie juste d'être le garçon que son père attend qu'il soit. Et de survivre. A la folie du père. A la violence du père. Ce père, qui invente tous les jours sa vie à partir du réel. Cette appropriation du réel fait d'ailleurs aussi de ce roman une histoire de la deuxième partie du XXe siècle, revue et corrigée par un dément. Le père d'Émile est partout, joue un rôle dans tous les grands événements, de la Seconde Guerre Mondiale à l'Euro, en passant par la décolonisation et la guerre d'Algérie, l'assassinat de Kennedy, l'attentat du Petit Clamart, la Guerre Froide, le nouveau franc…
Conte de la folie extraordinaire
Sorj Chalandon a attendu la mort de son père pour écrire ce livre. "Il était prêt depuis longtemps", confie-t-il. Mais il ne l'a commencé qu'au moment de la crémation de son père.Pour écrire cette histoire, très personnelle, le romancier (et grand reporter), a choisi la fiction, pendant que d'autres, comme Christine Angot, qui publie en cette rentrée "Un amour impossible" (Flammarion), raconte son enfance et l'histoire de ses parents, à la première personne et avec leurs vrais noms.
Chez Chalandon le récit est aussi écrit à la première personne, mais par la voix d'un personnage : Emile, 12 ans. Le romancier raconte l'histoire depuis l'intérieur de la cellule familiale, rendant compte par là de la complexité des sentiments d'Emile pour son père, partagés entre l'amour, la peur, la fascination. Un point de vue qui décrit implacablement un système fou, mis en place par le père, et accepté par tout le monde.
L'émotion dans le frottement des mots
Le romancier transcrit avec une justesse bouleversante le regard de l'enfant sur une situation qu'il ne peut pas comprendre. Parce qu'il est un enfant. Parce que la famille vit en vase clos : jamais d'invités, pas de relations sociales (ni famille ni amis), maison interdite aux petits copains, aucun moyen de comparer avec ce qui se passe ailleurs. Le récit oscille entre tous ces sentiments contradictoires, et le roman entre l'épopée, le roman d'espionnage, la comédie et la tragédie.Tout l'art de Chalandon réside dans sa manière de dérouler les faits sans pathos, d'une écriture concrète et poétique, où l'émotion surgit dans le frottement des mots. Cette phrase, par exemple, pour dire l'exaltation décalée du père : "Il annonçait la guerre et nous n'avions qu'une pauvre soupe à dire". Ou bien cette autre, pour dire l'enfermement : "Le printemps n'entrait pas ici. La lumière restait à la porte, épuisée par les volets clos".
Encore un prix ?
"Profession du père" reprend tous les thèmes que le reporter et écrivain creuse roman après roman : l'enfance, la figure du père, la guerre, l'héroïsme et ses légendes. Ce roman très personnel est très différent des autres mais il éclaire en même temps toute l'œuvre de Sorj Chalandon, et aussi sa vie. Œuvre et vie traversées par la question de la vérité, d'une vérité à partager, que le reporter cherche sur le terrain et le romancier dans l'écriture d'histoires inventées. "Profession du père" promet de donner une fois encore un prix à son auteur, déjà plusieurs fois récompensé : Prix Albert Londres en 1988, Prix Médicis en 2006, Grand Prix du Roman de l'académie française en 2011...dimanche 30 août 2015
0 Arrêtez....La cache - Christophe Boltanski
de bloguer, lisez ça :
« Nous avions peur. De tout, de rien, des autres, de nousmêmes. De la petite comme de la grande histoire. Des honnêtes gens qui, selon les circonstances, peuvent se muer en criminels. De la réversibilité des hommes et de la vie. Du pire, car il est toujours sûr. Cette appréhension, ma famille me l’a transmise très tôt, presque à la naissance. »
Que se passe-t-il quand on tête au biberon à la fois le génie et les névroses d’une famille pas comme les autres, les Boltanski ? Que se passe-t-il quand un grand-père qui se pensait bien français, mais voilà la guerre qui arrive, doit se cacher des siens, chez lui, en plein Paris, dans un « entredeux », comme un clandestin ? Quel est l’héritage de la peur, mais aussi de l’excentricité, du talent et de la liberté bohème ? Comment transmet-on le secret familial, le noyau d’ombre
qui aurait pu tout engloutir ?
La Cache est le roman-vrai des Boltanski, une plongée dans les arcanes de la création, une éducation insolite « Rue-de-Grenelle », de la Seconde Guerre mondiale à aujourd’hui. Et la révélation d’un auteur.
samedi 29 août 2015
0 Vernon Subutex 1 et 2 par Virginie Despentes
Son regard extra-lucide et décapant sur la société n'est pas sans rappeler celui de Houellebecq, un véritable rayon X qui transperce les âmes et ne laisse aucune chance aux travers et aux faiblesses de ses semblables.
QUI EST VERNON SUBUTEX ?
Une légende urbaine.
Un ange déchu.
Un disparu qui ne cesse de ressurgir.
Le détenteur d’un secret.
Le dernier témoin d’un monde disparu.
L’ultime visage de notre comédie inhumaine.
Notre fantôme à tous.
Une légende urbaine.
Un ange déchu.
Un disparu qui ne cesse de ressurgir.
Le détenteur d’un secret.
Le dernier témoin d’un monde disparu.
L’ultime visage de notre comédie inhumaine.
Notre fantôme à tous.
lundi 24 août 2015
0 Un homme dangereux - Émilie Fréche
Sorti le 19 août.
Mariée à un homme qui ne la touche plus, la narratrice tombe éperdument amoureuse d'un autre. Elle a 35 ans, il approche les 60. Elle est juive, il tient des propos antisémites. Ecrivains tous deux, ils manient les mots comme des armes, quand l'amour tourne à la guerre. Liaisons dangereuses du XXIe siècle ?
Lu d'une traite en me disant que cette femme était complètement maso, captive d'un homme qui la méne en bateau. Bien écrit, bien tourné. Il faut lire jusqu'au bout là où se dévoile le secret de famille, qui n'en est pas vraiment un.
Biographie ou roman ? Telle est la question. Je n'en ai lu que du bien. A vous de lire.
lundi 27 juillet 2015
0 Nos ancêtres les gaulois.....
Je lève le nez toutes les deux pages, j'en suis à la 480 sur 909... J'aimerais arriver au bout car je n'aime pas ne pas terminer un livre.
Ceux qui comparent Eric Marchal a Ken Follett lui font bien l'honneur !
vendredi 8 mai 2015
0 L'importun - Aude Le Corff
Si dans son premier roman " les arbres voyagent la nuit" Aude Le Corff mettait en scéne un vieil homme et une fillette, à là recherche d'une maman éloignée pour un temps, dans ce deuxiéme "l'importun" elle fait se rencontrer par le biais d'une acquisition immobilière un vieil homme et une jeune femme.
Cette rencontre est pour l'un comme pour l'autre une sorte de catharsis leur permettant d'aller a la recherche d'un pére perdu...
On le lit d'une traite, sous la glycine appuyé sur la vieille table du jardin, une tasse de thé dans un main . J'ai particulièrement aimé la page 139.
Je vous le recommande.
mercredi 11 mars 2015
0 Arden - Frédéric Verger
L'histoire se déroule sur fond de Seconde Guerre mondiale en Marsovie, une principauté imaginaire d'Europe centrale[6]. Les deux personnages centraux sont deux amis, Alexandre de Rocoule, gérant du palace d'Arden, « homme à femmes à la gaité féroce, à la générosité égoïste », et Salomon Lengyel, veuf mélancolique et introverti. Tous deux ont une passion commune : l'opérette. Ils ont d'ailleurs tenté la rédaction, toujours inachevée, de plusieurs morceaux. Quand le pays est occupé par les nazis, qui commencent la persécution des juifs, les deux amis réagissent en écrivant une opérette, qui apparaît à Alexandre comme une possibilité de sauver la vie à Salomon et à sa fille Esther – dont il est amoureux.
mardi 24 février 2015
0 L'oeuvre au noir - Marguerite Yourcenar
J'avais dans l'idée de vous parler de cette oeuvre, mais je ne vais pas y arriver. Marguerite a trop de talent, alors je vous invite à lire son bouquin.
Celui qu'il faut emporter sur une ile déserte.
"...Zénon cessait d'être pour eux une personne, un visage, une âme, un homme vivant quelque part sur un'point de la circonférence du monde , il devenait un nom moins qu'un nom, une étiquette fanée sur un bocal où pourrissaient lentement quelques mémoires incomplètes et mortes de leur propre passé. Ils en parlaient encore. En vérité' ils l'oubliaient"
jeudi 4 décembre 2014
0 Ainsi résonne l'écho infini des montagnes - Khaled Hosseini
C'est un trés beau roman.
La destinée de Pari et Abdullah, frére et soeur afghans. Exilés l'un et l'autre aprés l'invasion soviétique.
Celle de beaucoup d'autres, les rencontres de hasard. Les chemins des uns croisant ceux des autres, les fils invisibles qui les relient.
A lire.
J'aime beaucoup cet auteur, "les cerfs volants de Kaboul" me l'avaient fait découvrir. Je ne regrette pas. Et là j'ai sous le coude "Mille soleils splendides" mais je le lirais plus tard, je me lance (relance) dans "L'oeuvre au noir" je ne vous ferais pas l'affront de vous en indiquer l'auteur.
vendredi 28 novembre 2014
0 Charlotte - David Foekinos
Au départ, Je n'avais pas envie de lire ce bouquin.
L'auteur ne me revenait pas.
J'avais trouvé "La délicatesse" un peu cucul.
Le film avec Tautou pas génial.
Comme il a eu deux prix
J'ai voulu le lire.
Il évoque Charlotte Salomon
Peintre juive allemande.
Son destin tragique.
La répétition d'évenements dramatiques
Comme une malédiction familiale.
Vous pouvez le lire.
C'est intéressant.
Pas un mot en trop.
Et le style original.
Kristallnacht.
dimanche 23 novembre 2014
0 Ne pars pas avant moi. - Jean-Marie Rouart
Ne serait-ce que pour les quelques feuilles consacré à celui qui fait danser la vie, Jean d'Ormesson, il faut le lire.
Pour le reste ce n'est pas la modestie qui étouffe l'auteur. Il nous trimballe dans un milieu totalement hermétique au commun des mortels, celui des grands penseurs, aristo, grands patrons qui vivent "entre soi" on entrouvre et on a un peu la nausée, si ce n'est Jean d'O qui nous réconcilie avec ce "petit" grand monde.
Je n'ai pas retrouvé le plaisir que j'ai eu a lire JF Denieau ou J d'O qui chacun décrit ce lieu où tous se retrouvaient, l'un dans Tadjoura ou l'Ile Madame, l'autre dans C'est une chose étrange que le fin du monde. Sur cette terrasse, sous cet arbre, au soleil, prés des rochers et de la mer, et où ils palabraient sans fin....
Pour le reste ce n'est pas la modestie qui étouffe l'auteur. Il nous trimballe dans un milieu totalement hermétique au commun des mortels, celui des grands penseurs, aristo, grands patrons qui vivent "entre soi" on entrouvre et on a un peu la nausée, si ce n'est Jean d'O qui nous réconcilie avec ce "petit" grand monde.
Je n'ai pas retrouvé le plaisir que j'ai eu a lire JF Denieau ou J d'O qui chacun décrit ce lieu où tous se retrouvaient, l'un dans Tadjoura ou l'Ile Madame, l'autre dans C'est une chose étrange que le fin du monde. Sur cette terrasse, sous cet arbre, au soleil, prés des rochers et de la mer, et où ils palabraient sans fin....
vendredi 21 novembre 2014
0 Le vieux qui lit !
Aprés avoir lu Englebert j'ai eu envie de relire l'histoire d'Antonio.
Antonio est un "sans dents" comme le dit notre président, il porte un dentier qu'il retire dés qu'il a fini de manger ! Et oui il en prend soin, ça coute cher.
Grace à son dentiste Antonio dévore des livres, pas n'importe lesquels, des romans d'amour, pas n'importe lequel, d'amour triste. Il les lit et relit jusqu'à les savoir par coeur, chaque mot est nouveau pour lui et il le savoure. Donc il savoure plus qu'il ne dévore ces livres là.
Antonio connaît aussi par coeur la forêt amazonienne, il a été "adopté" par les indigènes, les shuars, qui lui ont appris plein de trucs ! Mais en voulant bien faire, il a gaffè et il a du retourner à sa solitude, ce qui lui a permis de lire debout car il a mal au dos. Il s'est bricolé un pupitre spécial.
Il sait aussi causer à l'oreille des tigresses.. Peut être, lisez où relisez. C'est bien.
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