Lisabuzz.com parle de Ckkv lecture : Honnêtement, je visite des blogs chaque jours de l année, par dizaine, mais là... C est que du bonheur... Ckkv lecture, c est de le balle, comme dirait mon pote Yoyo88. CKAN est et demeurera mon chouchou de la blogosphère, car Ckkv lecture, sans se la raconter, impressionne et innove à chaque post. Ckkv lecture est la Ferrari du Web.


Je trouve que c'est bien difficile de vous faire un résumé des lectures tellement il vaut mieux lire le livre, tellement l'auteur écrit mieux que moi... Donc parfois, juste un petit truc et un renvoi au résumé ou à des critiques mieux faites et avec lesquelles je suis d'accord bien entendu.

lundi 26 octobre 2009

0 Le vin de la solitude - Irène Némirovsky

En ce moment je lis ce livre. Voici un résumé.
Irène Némirovsky a une écriture qui captive le lecteur. Cet ouvrave me plait beaucoup, en voici un peti trésumé. Ma critique personnelle bientôt.

Largement autobiographique, Le Vin de solitude (1935) retrace le destin d’une famille russe réfugiée à Paris. Le déracinement, l’isolement, mais aussi la farouche volonté de s’affranchir de tous les carcans sont au coeur de ce huis clos familial oppressant. Irène Némirovsky brosse le portrait sans concession d’une jeune fille qui tente d’échapper à l’emprise de sa mère, une grande bourgeoise mariée à un « Juif obscur », pour laquelle elle n’éprouve que de la haine. Récit d’une douloureuse libération, ce roman subversif confirme, s’il en était besoin, le talent d’un des plus grands écrivains du xxe siècle.

Mon avis à moi :

Et bien figurez-vous que j'ai fini par confondre les deux livres que je venais de lire, celui-ci donc : Le vin de solitude, avec Ritournelle de la faim ! Si bien que pour en parler ce n'est pas évident.

Des ressemblances. Deux jeunes héroïnes et une vie cahotique. La première guerre mondiale pour l'une, la révolution russe pour l'autre. Le déclin de la famille, les dettes, les incompréhensions, les tromperies, les trahisons, les rencontres.

Hélène a Huit ans au début du roman et 21 ans à la fin lorsqu'elle se libère du carcan familial dont elle est restée volontairement prisonnière.
Père souvent absent, ne pensant qu'a "faire du fric", parlant de millions, de jeux, de millions. Pas vilain bonhomme, Karol de son nom de famille qui ruiné par le jeu s'en va faire des affaires au moyen-orient si je ne m'abuse.
Mère superficielle, vivant de l'argent de son mari et s'offrant de jeunes gigolos pour assouvir sa libido.
Mais les parents s'entendent, le père ferme les yeux sur les frasques de son épouse et mène sa vie en homme célibataire.
Au milieu d'eux, Hélène est très seule. C'est avec une gouvernante qu'elle trouvera un peu d'affection et compréhension et lorsque celle-ci décédera en ayant perdu la boule, Hélène sera confrontée à sa solitude, et à la déchéance de son père qu'elle soutiendra.
Si dans Ritournelle de la faim, il y a en arrière plan, la grave musique de la première guerre mondiale. Dans "Le vin de la solitude", c'est la révolution russe qui est là en sourdine et qui ballade notre héroïne de Russie, vers Paris, et ailleurs en Russie en Finlande ou en France.

D'autres avis , là aussi, encore là

A lire.

mardi 6 octobre 2009

0 Ritournelle de la faim - Jean-Marie-Gustave Le Clézio

S uperbe roman qui se déroule un peu avant la deuxième guerre mondiale et se termine après la libération.
Ethel  a onze ans, fille unique de parents d'origine Mauricienne. Leurs disputes bruyantes et fréquentes la laissent perplexe, il y a (eu) une autre femme dans la vie de son père qui est venue gachée les relations entre ses parents. Ceux ci ont une vie mondaine qui intrigue la fillette, relations douteuses qui les mènera à la ruine.
Elle trouve une oreille attententive et une complicité certaine avec son vieil oncle Soliman qui lui fait découvrir son domaine, sa maison "mauve" pavillon de l'exposition coloniale, qu'il s'est offert. Il fait d'elle sa légataire. Flouée par son père, elle perdra tout. Cela ne l'empêchera pas de soutenir ses parents durant cette période difficile qui ruinés, ayant tout perdu après avoir vécu la vie de bourgeois parisiens, réceptions, conversations de salon seront contraints de se réfugier dans le sud de la France pendant la guerre qui est là en sourdine dans cette histoire. Ethel accompagnera son père très diminué et sa mère dans le périple de leur exil. Réfugiés sera le terme figurant sur le laisser passer qu'elle obtiendra.
Deux autre personnes gravitent autour d'Ethel. Xénia, une amie d'enfance jeune aristocrate russe mais vivant dans la misère. Nous verrons ce que la vie lui aura réservé et comment il peut y avoir des revirements . Et Laurent, jeune homme anglais, relation de la famille, parti à la guerre et qu'Ethel retrouvera à son retour.
Et puis Paris et ses quartiers qui nous enchantent.
Un autre avis et , va les regarder c'est mieux décrit qu'ici.
J'ai beaucoup aimé ce Le Clézio là, plus facile à lire que certains autres que j'avais un peu galérer à lire, je pense là à "La quarantaine" entre autres dont j'ai d'ailleurs peu de souvenirs et que je relierais la lumière de celui-ci.
A lire.

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