Lisabuzz.com parle de Ckkv lecture : Honnêtement, je visite des blogs chaque jours de l année, par dizaine, mais là... C est que du bonheur... Ckkv lecture, c est de le balle, comme dirait mon pote Yoyo88. CKAN est et demeurera mon chouchou de la blogosphère, car Ckkv lecture, sans se la raconter, impressionne et innove à chaque post. Ckkv lecture est la Ferrari du Web.


Je trouve que c'est bien difficile de vous faire un résumé des lectures tellement il vaut mieux lire le livre, tellement l'auteur écrit mieux que moi... Donc parfois, juste un petit truc et un renvoi au résumé ou à des critiques mieux faites et avec lesquelles je suis d'accord bien entendu.

vendredi 31 juillet 2009

1 Les Hirondelles de Kaboul - Yasmina Khadra

Les hirondelles de Kaboul
(A revoir... brouillon)

La vie de deux couples habitant la ville pendant le règne des Talibans.

Atiq et Mussarat: Atiq est un Moudjadihin, gardien de prison. Son épouse Mussarat, femme très malade l'a sauvé de la mort lors de l'invasion russe.
Moshen et Zufaira : deux universitaires, d'un milieu aisé, qui ont tout perdu quand les talibans ont pris le pouvoir.

Le roman raconte leur désespoir, la perte de leurs illusions, la difficulté pour les femmes de vivre dans des conditions où on ne leur reconnaît aucun droit. Il aborde les thèmes de la répudiation des épouses, du pouvoir absolu du régime, de la religion, de la lapidation.

Il fait prendre conscience de l'horreur du quotidien à Kaboul sous le règne des Talibans. Les gens meurent de faim, les rues sont remplies de mendiants et d'orphelins, tout plaisir est proscrit, même celui de rire, la femme n'est rien en dehors de la maison. Néantisée derrière sa burka.
On est également mis en face de ce monstre collectif que peut être une foule, les dérives auxquelles un individu seul n'adhérerait pas ! la dilution des responsabilités, la folie que peut entraîner une passion exacerbée. Cela nous conduit à relire Freud "Psychologie des foules et analyse du moi"

A suivre....

1 Le dernier jour d'un condamné - Victor Hugo

A revoir - Brouillon

Six semaines, cela fait six semaines qu'Il est dans sa cellule, attendre, ne rien espérer sinon que le temps s'arrête où qu'il passe plus vite pour que cela n'arrive pas ou que tout soit déjà terminé.
Depuis tout ce temps il ne peut se libérer de cette pensée après le verdict fatal :

'Condamné à mort !... Voilà cinq semaines que j'habite avec cette pensée. Toujours seul avec elle... Toujours glacé par sa présence... Elle m'obsède éveillé, épie mon sommeil... Et reparaît dans mes rêves... Je viens de m'éveiller en sursaut en me disant 'ce n'est pas en rêve'... Eh bien avant même d'avoir entrouvert les yeux pour vérifier que ce n'en était pas un, je l'ai entendue : condamné à mort !'

Condamnés à mourir tous les hommes le sont. Mais lui connait a peu près le jour et l'heure, ce qui est une souffrance encore plus grande. Qu'annoncent chaque pas entendu derrière la porte, chaque tour de clé, chaque visite ?

Victor Hugo nous fait pénétrer dans les pensées obsédantes de cet être condamné à mort. Il ne donne pas les raisons de cette condamnation. Il s'agit d'un crime, le condamné a du sang sur les mains, c'est tout ce que nous savons de la cause de cette condamnation.

Il laisse une femme, une enfant de trois ans qu'il n'a pa revu depuis un an et qui vient ce jour fatidique lui rendre visite. Pour elle, il est un Monsieur, son père est déjà mort, c'est sa mère qui lui a dit. Le voilà désormais sans aucune affection à laquelle se rattacher.

C'est un homme seul, sans contact aucun avec l'extérieur. Uniquement avec un prisonnier qui va prendre sa place et attendre son tour, avec le gardien de cellule, avec le prêtre. On se laisse à penser à un moment qu'il pourrait échanger sa place avec les uns ou les autres, mais non, ce doit être mon fantasme.

Seul le bourreau semble avoir un peu de délicatesse, ne pas lui faire mal en lui enfilant la camisole, en coupant le col de la chemise la seule chose qu'il posséde encore.

Victor Hugo a voulu là, faire un plaidoyer contre la peine de mort. Je ne sais pourquoi, j'ai eu du mal a éprouver une quelconque émotion. Sans doute n'est-ce pas une lecture d'été.

dimanche 5 juillet 2009

1 Orgueil et préjugé - Par Jane Austen

Je ne connais pas Jane Austen, je n'avais jamais entendu parler de cet auteur avant de venir sur la blogosphère. Honte à moi ?
Je viens de commencer cet ouvrage. L'ambiance ne me déplait pas, bien que ce ne soit pas trop mon style de lecture.
J'aime bien la franchise des cinq filles, leur manière de répliquer aux hommes qu'elles côtoient.... les minauderies des unes et la répartie des autres me font bien plaisir. On sent un décalage entre conditions masculine et féminine dans cet ouvrage dont je débute la lecture... Les hommes paraissent des hommes "faits" à côté de ces petites jeunettes en mal de mâle ?
Finalement, si j'étais du milieu, j'en ferai bien une série pour la télé.... On pourrait très bien adapter les dialogues,qui ne sont pas inintéressants, à notre époque.... Voir des minettes percinguisées auprès de mecs à cheveux scotchés avec du gel.... la mèche à la Sagan.... ne serait pas si décalé je trouve.... enfin pour le moment....
Bon je ne dis que ça, ce sont mes premières impressions, j'y retourne, je ne sais pas si j'irai jusqu'au bout..... car ça demande beaucoup de réflexion et c'est dur l'été de penser.....
LECTURE EN SOMMEIL....

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